Effectivement alinea, chez les animaux grégaires il y a souvent (toujours ?) un couple ou un ou plusieurs individus mâle ou femelle dominants mais seulement nous ne sommes pas (que) des animaux même si nous ne sommes pas encore pour la plupart tout à fait humains et même si dame nature ou le grand manitou a emprunté au règne animal la plupart sinon toutes les pièces dont notre corps est constitué.
Je n’ai pas d’argument irréfutable pour étayer mon affirmation, sauf peut-être le constat que nous avons la possibilité d’observer nos comportements, de les changer dans un registre infiniment plus large que l’animal et surtout de les comprendre. Nous sommes différents des animaux, pas supérieurs pour autant, différents simplement et un animal dans sa niche écologique est un expert inégalable sans contestation possible.
La réponse à ma question car finalement il n’y en qu’une est à chercher ailleurs et surtout autrement.
Il y a une interférence entre notre vraie nature et ce que nous croyons être. Si nous commençons notre enquête avec des a priori quels qu’ils soient (vous les connaissez : ’’nous ne sommes que des animaux’’ ou bien ’’nous sommes une étincelle divine lâchée dans la matière et devons retrouver Dieu’’ ou autre chose), la question ne se pose pas, il n’y a pas d’interrogation, la croyance se suffit à elle même, cela s’appelle une névrose.
Se poser la question est le début d’un retour vers un esprit sain.