Monsieur septique, il n’y a pas de droit à être con car c’est un état qu’on ne peut que constater ce que je ne me permettrai pas de faire à votre égard ce qui me permet de vous dire au passage que ma morale d’athée est supérieure à la vôtre tout croyant que vous êtes.
Mais revenons à nos moutons, la métaphore : « si un grand ami dit du mal de ma mère il peu s’attendre à un coup de poing, et c’est normal »
entraîne par correspondance compte tenu des faits en référence : « Si une personnes dit du mal d’une (ma ?) religion elle peut s’attendre à recevoir un tir de kalachnikov, et c’est normal »
Trois remarques outre le fait qu’il est difficile de ne pas voir l’énormité d’une telle proposition
:1) le pape pense que des chrétiens sont susceptibles de se transformer en meurtriers contre les blasphémateurs du christianisme, ce qui est quand même très méprisant pour ses ouailles compte tenu du message d’amour du prochain censé être transmis par les évangiles
2) le pape tout en condamnant par ailleurs les actes criminels trouve normal et légitime les pensées criminelles alors même que ces pensées sont considérées comme des péchés par le credo catholique, et comme il parle de sa propre mère on peut légitimement se demander s’il ne les a pas déjà eu lui-même
3) j’aimerai bien savoir ce à quoi peut s’attendre une personne qui ne serait pas un grand ami