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Commentaire de tashrin

sur Yves Cochet, Lucie Lucas et Pablo Servigne : force et faiblesse de la collapsologie


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tashrin 2 juillet 2019 12:47

J’ai trouvé le reportage assez intéressant également, tout comme les bouquins de Servigne

Après, c’est vachement plus facile d’être dans ces dispositions d’esprit quand on est propriétaire de plusieurs hectares de terre cultivable, d’une grande maison et d’un petit lac d’eau douce pour faire du pedalo pendant que la terre s’ecroule :)

Pour moi, la reflexion n’est pas ni de gauche ni de droite ni d’extreme droite : c’est juste du bon sens et de la logique. On est tous extremement interdependants (les savoirs sont archi specialisés alors qu’il ya quelques decennies, tout le monde savait cultiver a minima), le stock alimentaire et en eau douce des grandes villes doit être de quelques jours à peine, et les villes rassemblent des volumes de population au metre carré extremement importants

=> pas de bouffe, pas d’eau, dans un espace restreint et en l’absence de structures publiques pour maintenir un semblant d’ordre = far west

Il faut donc de toute façon être partout ailleurs que dans une grande ville

Et si ce courant de pensée ne s’avere pas fondé, mais qu’il a permis à quelques personnes de se rendre compte que ’si ya plus rien dans les magasins je creve de faim’ (ce qui est vrai pour 95 % d’entre nous), c’est toujours ca de pris


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