@zygzornifle
On ne l’a pas abandonnée vu les milliards qui pour étés dépensés pour rien au cours des décennies , elle s’est mise a l’écart d’elle meme car elle ne veux pas respecter ni nos lois ni nos coutumes ….
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des vérités que certains se refusent de voir.
La précarité et l’injustice,
faux prétextes de la sécession des banlieues
La pauvreté, apanage des banlieues ?
Mais force est de constater que cette
référence constante à la précarité sert de matrice à toutes les
« politiques de la ville » telles qu’elles ont été
appliquées depuis 1977, période où les classes moyennes et la
génération issue du baby-boom avaient déjà quitté les grands
ensembles urbains construits hâtivement dans l’après-guerre et
avaient été remplacées par des populations, généralement peu
qualifiées, issues de l’immigration, et à qui l’on offrait le
confort du regroupement familial alors même que la situation
économique se détériorait.
C’est à partir de ce postulat
socio-économique que s’est développé depuis la fin des années
1970 une rhétorique victimaire pour les uns et culpabilisante pour
les autres qui couvrent d’un voile de pudeur tous les débordements
quand elles ne les excusent pas tout simplement. Voire quand elle ne
les souhaite pas tout bonnement.
La pauvreté serait donc le moteur le
plus puissant du sentiment de révolte. Très bien ! Mais dans
ce cas, allons plus loin et déroulons le fil d’Ariane.
Car les banlieues françaises
sont-elles les seules à souffrir de la précarité ?
En 2018, la France comptait 9.3
millions de personnes, soit 14% de sa population, vivant sous le
seuil de pauvreté monétaire. Les profils de ces personnes
égratignées par la vie sont, comme l’on peut s’en douter, très
divers :
extrait causeur