Jamais déçu par le chou
Les bienfaits du chou sont connus depuis la nuit des temps, mais une équipe de chercheurs vient de découvrir que le chou brocoli pourrait soigner et guérir un cancer.
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Le chou est intéressant à double titre :
Une étude parue fin février 2008 dans le journal de « l’américan association for cancer research » confirme les propriétés exceptionnelles du brocoli.
Il serait temps de trouver une solution, car entre 1950 et 2001, en France, le nombre de décès par cancer est passé de 73000 à 145 000 par an.
Quels sont les agents qui sont responsables de cette terrible maladie ?
Pour Robert Masson, les pesticides, les fongicides, les hormones données aux animaux d’élevage aggravent la situation.
pour d’autres, la pollution électro-magnétique est pointée du doigt, la pollution radioactive aussi bien sur…
Mais le chou n’est pas l’unique solution, des chercheurs affirment que la pectine et les extraits de jus de pomme auraient des effets anti-carcinogènes sur le colon.
Ces pectines, riches en polyphénol renforceraient les mécanismes biologiques produisant les composants anti-carcinogènes durant le processus de fermentation.
Il faut savoir que soigner un cancer coûte entre 3000 et 6000 euros par mois.
Pourquoi ne pas arrêter la dangereuse industrie nucléaire, sa cohorte de déchets intraitables, les pesticides, OGM ou non, la pollution électro magnétique dégagée entre autres par les lignes à très haute tension, les dioxines… ?
Comme disait un vieil ami africain :
95 réactions à cet article
-
mon légume préféré ,cuit à la vapeur ,servi avec une noix de beurre ,un peu de fleur de sel ,poivre blanc ,ail ,persil ...
accompagné d’une une viande blanche grillée .....
un petit vin de Loire là dessus .......
que demander de plus ?-
Gül 19 février 2009 13:20Salut Maxime !
Pour le brocolis, juste au beurre avec du saumon cuit à l’unilatérale accompagné d’un beurre blanc.
Et pour le chou vert, une embeurée servie avec quelques petits morceaux de foie gras poêlés, hmmmmm !
Et on garde volontiers le vin de Loire !
Olivier, pardon de cet aparté pas très diététique..., mais l’appel de la gastronomie n’attend pas ! -
Maxim,
nous ne sommes pas toujours d’accord,
mais là, il n’y a pas de problèmes,
essaye le brocoli cru.
il faut l’émincer en fines tranches,
l’arroser de jus de citron (bio, bien sur)
décorer de zestes des mêmes citrons,
et y ajouter quelques filets d’anchois, et quelques capres.
hummmmmmm.
c’est si bon. -
Gühl,
on peut aller plus loin avec le brocoli,
j’aime aussi le mettre cru dans une sauce au bolets,
on fait chauffer doucement la sauce,
le brocoli s’en empreigne,
il doit rester un peu ferme.
et pour l’accompagner, je préfère un alsace sec.
... -
salut Gul....
j’aime bien également les brocolis cuits vapeur ,mais encore assez fermes ,avec des blancs de poireaux également cuits vapeur ,braisés ensemble à l’huile d’olive dans une grande poèle ,un peu d’échalotte hachée en fin de cuisson pour ne pas que ça devienne amer ,et puis tous les ingrédients pour assaisonner bien entendu ...
on peut faire une sauce blanche bien sûr,mais la diététique en prend un coup !
on garde le foie gras bien sûr si il n’y a que ça ! on le fait revenir à la poèle avec des figues ! -
salut Cabanel ...
quand il s’agit de bouffe et de convivialité ,on laisse les couteaux au vestiaire ....
la gueule et le c...... ! y’a que ça d’important dans la vie ! -
Gül 19 février 2009 14:11Je vous assure que le foie gras poêlé avec une embeurée de chou vert, tout ça parsemé de fleur de sel, c’est merveilleux !
-
Gül,
il est essentiel de garder la vivacité du vert du brocoli,
donc la cuisson est à surveiller, et ne doit durer que quelques minutes,
certains préconise de le passer sous l’eau froide à la fin de sa cuisson,
je suis partisan d’une cuisson courte et rapide, et de garder un peu de "croquant"...
question de goût.. -
maxim,
tout est lié,
un corps nourri avec de bons ingrédients c’est ce qu’il faut pour se sentir bien dans sa tête,
la cuisine n’est pas qu’une pièce ou nous préparons des aliments,
elle est le lieu ou nous assurons notre avenir,
et ou nous préparons (ou pas) notre bonheur. -
Ou bien un stoemp brocoli, pomme de terre et brocoli vapeur ecrases ensemble, miam !
-
Ou mieuc encore servir le pied du brocoli en lamelle, et revenu comme les pousses de bambou, avec du riz, de la sauce au sojo et du au choix tofu/lard/boeuf. Re-miam
-
Philippe Reneve,
merci de ce lien,
heureux de voir que nous sommes parfois en phase,
l’article évoque bien sur le chou, mais çà ne t’a pas échappé qu’il essaye d’aller un peu plus loin...
pectines, cancer...
et j’ai d’autres pistes,
encore merci -
@maxim
un petit vin de loire ne veut rien dire !cela va de Sancerre(menetou-salon,reuilly,quincy)jusqu’au Muscadet !
un loirien-
TSS,
tu as raison de pousser au détail,
vin de loire, c’est un peu vague,
d’autant qu’il y a l’embarras du choix,
quel est le tien...
tant pis si le but de l’article n’est pas de faire une rubrique "gastronomique", mais je suis toujours poussé par la curiosité.
pourquoi ne pas ouvrir un autre champ de réflexion que "le cancer"
d’autant que sur av, un autre rédacteur pointe le vin du doigt... -
bon ,alors ...un Chinon ,ou un Bourgueil avec une viande ,un Layon avec un foie gras ,un Pouilly Fumé avec une entrée à base de charcuterie ou bien un Quincy .....
-
Maxim,
essaye le vin blanc australien de Margareth River,
il est bio,
travaillé dans la tradition,
sans désherbants, cueilli à la main, foulé au pied,
...voir l’article sur ce sujet...
il est d’une qualité à faire tomber les chaussettes,
à condition d’en porter. -
C’est un peu partiel tout ça, la loire est en superficie la 1ère région vinicole de France.
En descendant le fleuve on trouvera :
Pouilly-fumé, Sancerre, Menetou Salon, Quincy, Valençay, Touraine(s), Vouvray, Montlouis, Vendômois, Jannière, Coteaux du loir, Bourgueils, Chinon, Saumur, Anjou, Coteaux du Layon, Coteaux d’Ancenis, Muscadets, Gros plan Nantais, et Fiefs Vendéens...
Je dois certainement en oublier, mais ça laisse un peu plus de diversité (et de très bonnes choses à découvrir) que les très connus Sancerres et Coteaux du layons qui ne sont que la partie visible de l’iceberg.
Un peu de justice pour les vins de loire ! -
lord mahuf
la loire,
dernier fleuve encore un peu sauvage
et merci pour nous rappeler ces cépages, et ces appelations qui laissent réveur.
parait qu’un certain Gérard s’est mis à y faire du vin... -
A Olivier
« cueilli à la main, foulé au pied »
Que du baratin de commerçants, du marketing de mauvais gout !
Il suffit de voir l’hygiène, en pleine chaleur, la sueur qui dégouline de partout !
Franchement on peut faire du bon vin sans pour autant le fouler aux pieds !
ce n’est que du folklore pour touristes désoeuvrés. -
Averoes
du marketing pour touristes désoeuvrés, comme vous y allez...
vous devriez lire l’article sur "margareth rivers", en Australie, vous apprendriez plein de choses :
un endroit miraculeusement préservé,parceque des hommes et des femmes avisés, ont décidé dans les années 50 de proteger tout le site, aussi bien le littoral, que le fond marin, interdisant l’utilisation de défoliants et autres herbicides, respectant les matériaux locaux,
c’est une oenologue française, qui avait fait ses études à Bordeaux, qui est allé s’installer là-bas, et les vins de margareth rivers ont acquis une réputation mondiale.
enfin, c’est vous qui voyez. -
Olivier,
Personne ne doute une seconde de la qualité des vins australiens dont vous parlez, mais avouez que le foulage au pied est un truc à touristes.
Je ne vois pas la différence de qualité qu’il peut y avoir entre un raisin pressé au pied ou avec un pressoir traditionnel en bois par exemple.
Enfin si !
J’en vois une, mais c’est plutot en faveur du pressoir traditionnel que du foulage au pied : l’hygiène de la méthode. Excusez moi de ne pas avoir particulièrement envie de boire du jus de pied, en déplaise aux méthodes de l’époque romains.
Enfin, si on parle de pressoire moderne pneumatique, la qualité du jus n’est pas altérée pour peu que l’on reste dans des pressions acceptables.
Ils ne gènent en aucun cas pour faire un vin bio de bonne facture, ni pour utiliser des méthodes de vinification à l’ancienne qui donnent tout leur caractère aux plus grands vins. -
Par contre, cueilli à la main, pour moi c’est fondamental pour n’avoir que des bons raisins arrivant au pressoir.
Les machines embarquent les raisins murs ou pas murs, pourris ou pire, sans distinction avec des branches et des feuilles et en font un joyeux mélange passablement écrasé. Non merci. -
Lord Mahuf,
je ne suis pas assez documenté sur foulage ou pressage du vin,
je pense seulement que lorsqu’il est mis dans ces pressoirs modernes, ou l’on extrait la dernière petite goutte, il doit y avoir peut etre une qualité moindre que si l’on presse avec un appareil artisanal, qui permette de doser le pressage...
mais je n’ai pas de qualification dans le domaine...
je crois surtout que la qualité des grappes est essentielle,
lorsqu’on ramasse à la main, on peut mieux sélectionner les grappes ramassées, ce qu’une machine, à mon avis, ne peut pas faire, et ramasse tout, bon ou mauvais.
mais je peut me tromper ? -
Non non, pour les machines à vendanger, vous avez parfaitement raison (comme je l’ai écris au dessus d’ailleurs).
Pour le pressage, il n’y a pas de problème à utiliser une machine ou une autre, en général, la première pressée est plutôt moins concentrée en aromes, sucres etc. que la dernière. évidemment, il ne s’agit pas non plus d’exagérer et de presser à en sortir la sève du bois... -
Lord_mahuf
bon, nous sommes en phase,
merci de vos précisions, je les partage.
cordialement, et à votre santé. -
Tout est bon dans le chou , la purée de chou , le chou farci , le chou rouge ou chou vert en crudité , les brocolis , les choux de bruxelles , la choucroute.
Essaie les brocolis blanchis 2 mn dans l’eau bouillante , puis sautés avec de l’ail et du gingembre frais en lamelles , c’est un régal !
un seul point noir , ça craint pour les émanations de méthane après !
http://www.gtv-land.com/fichiers/lasoupeauxchoux.jpg-
Le Chat,
moi qui croyait bêtement que les chats ne s’interessaient qu’aux souris..
pour le brocoli, je propose un plus,
l’accompagner d’un Chutney d’abricot au gingembre.
hmmmmmmmmm -
@olivier
ça tombe bien , j’ai les abricots bio à portée de la main en juin dans le jardin , j’adore la cuisine indienne .
Lundi soir , j’ai diné d’un curry de lentilles et d’un velouté d’aubergine . On peut aisémment se passer de viande sans avoir faim tout en se régalant. -
au Chat
puisqu’on en est au sucré salé,
tu devrais essayer les quartiers de truite (ou saumon) avec des morceaux de mangue, du lait de coco,
le tout est cru, un filet de citron sur le poisson assure la "cuisson" froide du plat,
il faut avoir mangé çà une fois dans sa vie...
sinon elle vaut pas le coup d’être vécue. -
@ attention le chou c’est un facteur de vita (K ) mauvais attention pour les embolies Obstruction des vaisseaux donc a prendre ok mais avec modération ou faire contrôler son N.IR
-
oui, j’ai aussi entendu parler d’un certain Mandryka...
quel talent.
il avait pas son pareil pour masquer les concombres...
alors que d’autres bêtement se contentent de s’en faire des masques de beauté... -
c’est vrai qu’après les brocolis ,on envoie les gaz ,défense de fumer dans les toilettes !
-
maxim,
je rebondis sur ce commentaire,
çà nous renvoie à un article précédent,
ce gaz dont tu parles est interessant à plus d’un titre,
il s’appele méthane.
il participe au réchauffement planétaire, et c’est même le principal facteur de ce réchauffement, bien plus que le CO2 dont on nous rebat les oreilles,
et en même temps, le méthane est une source d’énergie inépuisable,
comme je l’ai dit dans un précédent article, cela représente potentiellement le tiers de nos besoins nationaux en énergie...
sauf que tout le monde, ou presque s’en fout.
mais je m’égare... -
à @ Olivier,
Oui, vous vous égarez, mais c’est de l’humour bien sûr.
Ce gaz est pour l’essentiel de l’air légèrement enrichi en hydrocarbures tels que le méthane, éthane ... bien sûr non inflammables.
Il me semble irréaliste d’en faire une énergie pour faire tourner nos usines !, peut être une toute petite éolienne ! -
@ pierrot
il suffit de le purifier dans une cuve d’eau
ensuite ca vaut n’importe quel gaz -
Pierrot,
un méthane une fois purifié nous offre un avenir bien différent de celui que nous offre le nucléaire,
renouvelable, sans quasi dégager de pollution,
pas plus dangereux que le pétrole,
(je parle en terme d’explosion)
ce n’est pas anodin...
mais j’ai bien peur que nous éloignions du chou ? -
Foufouille,
des qu’on cause énergies renouvelables et propres, tu arrives ...
çà fait du bien de ne pas se sentir trop seul, parfois... -
-
Gasty,
comme tu dis...
"celle que je préfère, c’est la guerre de 14/18"... -
Pierrot,
Le methane est un combustible. Il est inodore. Il est utilise comme source d’energie.
Olivier,
Dwans les flatulences humaines, le methane (qui est inodore) n’est present qu’en faible quantite. Contrairement a celles des herbivores. -
bien sur le méthane en temps que tel est inodore,
mais il est associé généralement au soufre, et c’est ce soufre qui lui donne une odeur,
une fois débarassé de ce soufre, il est évident qu’il est quasi inodore.
merci de ton commentaire. -
italiasempre 19 février 2009 14:44Bonjour
J’y vais aussi de ma petite recette, parce qu’il ne faut pas oublier d’où les broccoli sont originaires...
www.flickr.com/photos/23450843@N04/3019173400/-
mais ouiiiiiiiiiii........d’Italie !!!!!!
-
-
italia sempré
qui aurait oublié que le brocoli était d’origine italienne,
d’ailleurs en gratin avec un peu de parmesan et une crème de truffe, c’est tout simplement merveilleux. -
italiasempre 19 février 2009 15:17Yammy !
Plus gentil avec les artères : cuire à la vapeur et faire sauter à la poile avec huile d’olive et ail. -
bon et bien on va faire un petit aparté ....
ce méthane ,un fermier( Anglais je crois ),bon bricoleur .....,l’utilisait en faisant chauffer de la merde de poule dans un appareil posé sur la galerie de sa bagnole ,et s’en servait comme carburant ,pour faire avancer la chignole ,et ça marchait bien !-
Maxim,
on peut élargir,
en Chine, un tuyau est branché sur la fosse septique des wc, et alimente la "gaziniere", permettant de cuire les aliments à moindre coût.
la boucle est bouclée. -
-
yohan,
merci de ton appréciation
et comme disait un vieil ami africain :
"un chou c’est un chou, qu’il soit de Bruxelles, rave, ou bien navet, un chou c’est important pour garder la santé" -
bon et bien on se retrouvera à table ce soir ...
il fait beau ,je sors le vélo !
tchao !-
Quant à l’origine des cancers en France.
Vous avez une vidéo qui présente une étude nationale faîte par le Ministère de la Santé.
Mais vous avez une autre vidéo qui vous présente la légende du cancer du tabac.
N’ayant pas abandonné la cigarette, je sens que je vais reprendre la cigare..Dommage que l’on ne trouve plus de "Gauloises bleues", "Celtique" de Gitanes sans filtre, de "Boyard papier maïs"..
Mais demain je me fais chauffer une petite pintade au chou. Un beau petit chou bien pommé. C’est vraiment la saison.
@+-
Krolik,
pour échapper au dangers de la cigarette, l’idéal est de la rouler soi même. (avez vous lu mon article" nom d’une pipe" ?)
il existe des petites machines qui permettent d’en rouler une vingtaine rapidement, avec du papier à cigarette non traité, et du tabac sans "agents de sapidité" et autres cochonneries,
méfiez vous, certains cigares sont traités pour ne pas s’éteindre.
pour vivre en bonne santé, on est condamné à la qualité,
pauvre France. -
Pour les clopes à rouler, la machine à les rouler par 20, et les papiers / tabacs sans agents de sapidité : des références SVP !!!
-
vilain petit canard,
pour les clopes à rouler,
chacun a son choix,
certains préfèrent rouler à la main, une par une, d’autre la machine...
a rouler par vingt, je connais pas...
ce qui compte c’est que le papier ne soit pas traité
pour en etre sur, il suffit d’en enflammer une feuille, si quand on souffle dessus pour l’éteindre, elle continue de bruler comme du papier d’arménie, vaut mieux éviter...
et la qualité du tabac est bien sur essentielle,
à lire pour ceux qui ont raté un épisode mon article
"nom d’une pipe" -
Désolé j’avais mal lu, pour les vingt clopes... merci des tuyaux.
-
à l’auteur,
les médecins et experts dans le domaine du cancer ont dit et repeté maintes fois, il n’y a pas d’aliment anti cancer.
Il faut simplement consommer plus de fruits et légumes, faire une activité physique, ne pas fumer, consommer peu (ou pas du tout ?) d’alcool et plus des 3/4 des cancers ne surviendront pas.
Bonne journée.-
Pierrot,
non, non et non...
c’est d’ailleurs la base de cet article,
j’ai donné les liens,
les références, les noms des scientifiques qui pensent que certains légumes peuvent guérir du cancer.
Brocoli, pectine, mais il y a d’autres pistes...
l’essentiel n’étant pas de manger n’importe quel légume ou fruit,
mais surtout d’éviter tous ceux qui sont traités, car ils sont dangereux.
pesticides, et traitement divers, autant de cancers en préparation.
enfin, c’est vous qui voyez. -
l’essentiel n’étant pas de manger n’importe quel légume ou fruit,
mais surtout d’éviter tous ceux qui sont traités, car ils sont dangereux.
pesticides, et traitement divers, autant de cancers en préparation.
voila, tout est dit ici, 5 fruits et légumes par jour c’est bien, mais c’est pour bouffer de la sloperie traitée, c’est pas la peine.
Aucune étude cancer/pesticides d’ailleurs...
-
les 5 fruits, c’est juste de la comm actuelle
avant on avait les produits laitiers et 2 verres de vin -
saint sébastien
je te rejoins complètement bien sur,
il y a surtout beaucoup de com dans cette phrase que l’on nous martelle a longueur de communiqués...
5 fruits et légumes,
bien sur,
mais pas n’importe lesquels,
c’est évident,
je pense à ces fraises que l’on nous propose en plein hiver,
qui sont cultivées en serre, et saupoudrées généreusement de pesticides...
bon appétit. -
n’empêche, maintenant que j’y pense : vous êtes certains de ce que vous dites à propos de pesticide sur les fraises en hiver ?
Je ne me suis jamais penchée sur l’agriculture, mais la logique voudrait que comme en hivers il y a moins de parasite, on aurait moins besoin de rajouter des pesticides qu’en été... non ? -
Epeire,
n’oubliez pas que pour qu’il y ait production de fraises en hiver, il faut de la chaleur, même pour une production sous serre,
qui dit chaleur, dit parasites, insectes...
qui dit parasites dit insecticides, donc pesticides,
il y a eu ici ou là de nombreux témoignages d’ouvriers agricoles travaillant en Espagne, sous serre, et qui dispersent des insecticides à tout va, sans la moindre protection pour eux.
la règle qu’il faudrait s’imposer c’est au moins de ne manger que des fruits de saison,
et si possible non traités...
donc, je confirme pour les fraises,
et pas seulement pour les fraises, mais pour beaucoup de productions non bio faites sous serre. -
Très bien, je comprends mieux comme ça. Merci d’avoir éclairé ma lanterne.
-
A Epeire
Sous serre, il n’y a plus d’hiver ! C’est un paradis pepétuel.
Ce confinement permet une pullulation d’insectes et de champignons de manière irresponsable, ce qui rend le recours aux pesticides incontournable et couteux.
-
Avéroes,
d’ou l’interet de ne consommer que des fruits et légumes de saison,
la culture sous serre pose beaucoup de problèmes,
l’avenir est certainement le BRF...
cultiver sans jamais arroser, ni traiter, et permettre la création de la couche fertile de la terre. -
à @ Olivier Cabanel,
J’aime bien le chou pour son goût.
Mais une fois de plus, tous les médecins spécialisés dans le cancer affirment qu’il n’y a pas un seul aliment "anti cancer" mais qu’il faut manger sain des fruits et des légumes, faire des activités physiques, ne pas fumer, boire modérément ...
Même si votre article s’appuie sur des liens, sans aucune valeur scientifique reconnu, cela ne change pas la conclusion.
Votre article agréable par ailleurs, est donc faux, comme sera faux le fait que la terre s’arrêtera brutalement en 2012 ! (voir votre article rigolo sur ce sujet !).
Internet est une chose excellente mais s’y cotoie les meilleures et les pires articles.
Il faut garder un esprit critique étayé par une bonne base de connaissances fondamentales pour trier le bon grain ...
Bonne journée. -
¨Pierrot,
le coup des "cinq fruits et légumes par jour" est une belle opération de com , une de plus,
vous faites comme vous voulez,
portez les jugement que vous voulez,
triez le bon grain de l’ivraie,
à votre façon...
pour vous donner un conseil dont vous ne tiendrez surement pas compte, mais qu’importe,
je dois vous dire que :
la quantité est une chose,
la qualité une autre,
5 fruits et légumes...peut etre...
s’ils sont sans pesticides, sans traitement chimique,
çà ne peut pas etre mauvais,
sinon, vous pouvez en prendre autant que vous voulez, s’ils sont traités chimiquement, le cancer vous guette,
enfin, c’est vous qui voyez. -
Pour me rajouter à la fête, je ne saurais que vous conseiller le choux rouge cuisiné à la flamande (et en plus le jus change de couleur selon l’acidité, donnez en un verre à un gamin avec une bouteille de vinaigre et du bicarbonate de soude, y a de quoi s’amuser pendant des heures
)
Cela dit, les effets protecteurs des choux sont connus depuis déjà plusieurs années : en 98 lorsqu’un proche a eu un cancer, chez moi on a mangé du choux à peu près tout les repas ! Heureusement que les variétés permettent de varier un peu ! En même temps, pour que tout le monde trouve des produits bio abordables... Moi aussi j’aimerais bien, mais pour le moment c’est pas facile pour tout le monde (dans quelques années : après la fracture numérique, la fracture organique ?)-
Epeire,
s’amuser pendant des heures ?
j’essaye d’imaginer... tu peux développer ?
sinon, il semble bien que le choux, dont on parle rarement pour soigner les rhumatismes et qui est pourtant très efficace en applications, soit un légume incomparable.
dommage qu’on le consomme la plupart du temps cuit.
ce qui lui enlève pas mal de propriétés. -
Bon, des heures j’exagère peut-être un poil, mais le jus de choux rouge cuit est rouge (je précise qu’on rajoute du vinaigre lors de la cuisson) et il change de couleur selon l’acidité. En cuisinant le chou rouge, ma mère me laissait un bol de jus pour y rajouter un tas de truc : vinaigre, eau, dissolvant (bizarrement ce dernier n’a rien fait rien du tout à la couleur... j’ai pas compris sur le coup)
En cherchant des images, regardez donc le bel arc-en ciel qu’il est possible d’obtenir :
http://scienceamusante.net/wiki/index.php?title=Jus_de_chou_rouge
Et puis j’avoue, le choux rouge cuit j’adore ça, largement plus que sa version crue... Dommage pour les vitamines il est vrai. -
Epeire,
merci pour le lien,
çà confirme une info que j’ai lu,
les cuisiniers se servent du choux pour colorer certaines préparations,
tout comme la betterave rouge...
j’en ai fait l’expérience en gardant l’eau de cuisson pour cuire du riz,
çà m’a fait un riz d’une belle couleur rouge,
çà donne des idées pour la déco d’un plat... -
Le brocoli c’est un légume délicieux et très sain ... quand il n’est pas radioactif (voir lien)
-
mahamudra,
merci de cette info,
est-ce que d’après vous, celà a un rapport avec les traitements que l’on fait subir à différents légumes,
les pommes de terre, par exemple, que l’on "irradie" pour empêcher la germination ?
c’est un sujet qui me préoccupe, et je ne suis pas le seul.
si des internautes ont quelque information la dessus, je pense que çà interesse pas mal de monde. -
pouf pouf......
les radiations peuvent etre dangereuses si elles sont de trop fortes energies ( Un radiation X ou gamma est plus dangereuse qu une radiation bleue, qui est la couleur actuelle de mon pull). Mais l irradiation.... La poussiere apres une explosion nucleaire est dangereuses car elle contient des element radioactif, en rayon Beta, et X, provenant de la desintegartion des element radioactifs (fission nucleaire). Cependant un un element irradies qui n irradie pas n est pas dangereux. Si l organisme vivant est soumis en effet a un rayonnement Gamma, il est mort mais pas dangereux. Juste mort, et moleculairement abime. Mais tu peux tue aussi aux UV ou l X. C est pas dangereux en elle meme. Ceci dit cela detruit certains molecules (d ou la mort), mais le rayonnement IR (cuisson) fait de meme.
Donc bon -
Il y a une multitude d’anticancérigènes dans la nature. Parmi les plus puissants, on trouve le thé vert, les graines de lin, le soja et le curcuma. Mais pour éradiquer cette maladie, cela ne suffit pas. Il faut aussi remettre en question son alimentation. Il faut savoir que le sucre et une alimentation riche en oméga—6 favorise la progression du cancer. Les produits chimiques et la pollution électro-magnétique sont aussi responsables de l’augmentation de ce fléau.
Pour plus d’information à ce sujet, je vous conseille de lire l’excellent livre de David Servan Schreiber : Anticancer et de visiter le site http://www.guerir.fr/-
Le thé vert c’est pareil.... interdit.
-
l’anarchiste,
bien sur, et la liste n’est pas limitative,
j’ai entendu parler d’une algue (chlorella, je crois) qui serait très active pour soigner le cancer.
à lire aussi le célèbre bouquin d’oshawa (zen macrobiotique) qui donne bien d’autres pistes,
en tout cas, merci de ton commentaire. -
Tout est bon dans le chou !!!!!!
Vous oubliez la vitamine K, c’est un des légumes qui en contient le plus, magnifique article pour les cardiaques qui risquent de filer à l’hôpital après en avoir consommé (expérience réalisée par mon épouse qui doit surveiller son INR).
Bravo !!!!.
-
Manger équilibré, sain, frais, varié et peu, à heures régulières, en évitant les produits industriels, c’est encore ce qu’il y a de mieux à faire.
-
Yohan,
pour ma part, je vais encore plus loin,
je me suis interdit tous les produits transformés...dans la mesure du possible.
donc je fais mon pain...çà me prend moins de temps que de prendre la voiture, aller à la boulangerie, et ramener le pain,
comme la farine est bio, et le four marche au bois, le plaisir est double... -
Battement d’elle 19 février 2009 23:08@ l’auteur
Vive la nature...... on croirait entendre chanter les petits oiseaux !!
Justement parlons-en....des oiseaux ...... et en particulier du foie gras : voilà un mets on ne peut plus naturel n’est-ce pas..... qui ne dépare pas avec la nature ???????
Je m’étonne Olivier Cabanel..... que vous ne releviez pas ce genre de mets intrus !!!!
..... Mais l’essence...ciel étant que le palais humain y trouve son bonheur.... n’est-ce pas ???
je invite à visiter ce lien....pour vous mettre en appétit :
http://www.stopgavage.com/
-
Battement d’elle,
comme toi, depuis que j’ai vu comment on gavait les oies, ou les canards, je préfère m’en passer.
d’ailleurs j’ai une méthode de cuisson du foie de poulet qui est simple, et qui permet de ne pas regretter ce sacré foie gras. -
C est vrai que j ai goute un foie d oie non gave, juste une tranche poile et sale, c est un delice
-
faxtronic
j’ai ma méthode pour cuire le foie qu’il soit de canard, de poulet, ou d’oie..
dans une petite terrine, je met du gras, ce gras ferme et bien blanc qui se trouve "au cul des poules",
j’en tapisse le fond,
je met par dessus le foie, je sale, je poivre...
je recouvre d’un autre morceau de foie,
et je fais cuire au four.
des que le gras commence a fondre... il fait de petites bulles, j’éteins le four et je laisse le foie refroidir complètement dedans,
quand c’est froid, je met au frigo.
le lendemain, il suffit de casser la gangue de gras fondu : le foie est au milieu, magnifique, cuit idéalement, et c’est un délice, surtout si on a pris la précaution de le faire mariner auparavant, avec les épices de son choix... -
Merci olivier pour la recette, ça a l’air bien bon.
Pour sortir du débat sur le gavage des oies, je vous propose de visiter ce lien qui explique les alternatives pour le consommateur qui aime bien le foie gras mais qui est allergique au gavage :
mescoursespourlaplanete / Foie gras
Notamment, j’aime plutot bien l’idée de pousser les oies (bios et élevées en plein air) à se gaver toutes seules en leur laissant à disposition et en quantité des nourritures caloriques qu’elles affectionnent.
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le gavage des oies est plus que discutable,
je ne sais pas si les oies peuvent se "gaver" d’elle même ? bien sur, si on leur met du maïs sous le bec, elles vont se régaler, et leur foie prendra une belle couleur jaune pale.
je ne crois pas qu’on puisse appeler çà du gavage, par définition.
en fait en les gavant, elles attrapent la cyrrose du foie,
je crois que ce sont des coutumes barbares,
qui ne respectent pas l’animal.
...mais je suis sûr qu’on va me reprocher de faire de la "sensiblerie". -
non, perso j en ai rien a foutre des etats d ames oies, mais c est pas la peine de les gaver pour que leur foies soient bons. La recette de Cabanel semblent bonnes.
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moi mes brocolis j’vais les ballader du coté de ST denis
ferme là chmoll !!!!-
schmoll...
pas de chouci... -
"Jamais déchu par le sou" : slogan de la droite sarkoziste.
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la taverne des poetes,
je désespérait que quelqu’un se rende compte de l’autre sens que l’on pouvait donner à mon titre,
ouf
merci -
Je me permets de m’immiscer dans cette conversation dont le côté hédonique est fort plaisant (ma modeste contribution se limitera à ceci : dans la Loire n’oublions pas les merveilleux Savennières, Bonnezeaux et autres Quart-de-chaume, et j’adore le chou) pour vous faire part de mes réflexions à propos des bouses de vache et du méthane. Bon, je sais, c’est un peu terre à terre, mais enfin, j’ai préparé ce texte qui m’a pris beaucoup de temps, et puisque je vois que l’auteur est maintenant dans les choux, je lui livre mes remarques là où il est.
Ce n’est pas non plus hors sujet, même si on s’éloigne des choux, car j’ai vu qu’à plusieurs reprises, ce thème avait été évoqué dans ce fil.
L’auteur lui-même y déclare :
« et en même temps, le méthane est une source d’énergie inépuisable, comme je l’ai dit dans un précédent article, cela représente potentiellement le tiers de nos besoins nationaux en énergie... sauf que tout le monde, ou presque s’en fout. »
Eh bien, moi non. Ce sujet m’intéresse, et j’espère que notre auteur m’en remerciera.
La récupération du méthane produit à partir des excréments des animaux (en particulier des bouses de vaches) se fait déjà, ça et là, dans installations prévues à cet usage. L’auteur propose de généraliser cette pratique, afin d’atteindre, selon ses dires, une production d’énergie de 90 MTEP, soit, effectivement, le tiers de nos besoins nationaux.
Regardons d’un peu plus près ce projet (sans mettre vraiment le nez dedans, il va sans dire).
J’ai deux remarques préalables qui ne vont pas vraiment dans le sens de l’écologie.
En premier lieu, la combustion du méthane donne lieu à émission de CO2, selon la formule :
CH4 + 2O2 -> 2H2O + CO2
Le CO2 est un gaz à effet de serre, certes moins puissant que le méthane, mais un gaz à effet de serre quand même.
Deuxième remarque : tant que la récupération de méthane ne concerne que quelques sites isolés, les conséquences sur l’environnement restent limitées. Mais changer d’échelle conduirait vraisemblablement à perturber le cycle biologique de nos prairies (si je prends l’exemple des vaches). En effet, étant donné qu’il faut bien enlever, d’une façon ou d’une autre, les bouses pour les traiter ailleurs, on enlève ce qui sert de nourriture à certains insectes (coprophages) qui jouent un rôle important dans le recyclage des matières organiques. Que feraient les bousiers en pareil cas ? Je n’en sais rien, mais ils ne devraient pas être très contents.
Examinons d’un peu plus près les implications économiques et pratiques d’un tel projet.
Sa mise en œuvre nécessite de rassembler quelque part, dans un local approprié, les bouses de vaches dont ces dernières parsèment les prairies au gré de leur fantaisie. Dans ce local, la fermentation des bouses, si elle se produit en l’absence d’oxygène, dégage du méthane. Il suffit de le récupérer pour le brûler. Le principe est donc simple.
Evidemment, si on pouvait demander aux vaches d’aller faire leurs besoins directement là où il convient, ce serait vraiment bien. Mais il semble, hélas, qu’il faille se résigner à récupérer les bouses là où elles sont.
La première question à se poser est de définir les moyens à mettre en œuvre pour faire cette opération. Il y a deux façons de faire : soit avec des machines, soit manuellement.
S’il y a mécanisation, il faut, comme n’importe quel produit industriel, concevoir les machines, les tester, les fabriquer, les entretenir, et les recycler en fin de vie. On pourrait s’appuyer sur l’expérience acquise par certaines municipalités pour enlever les crottes de chien : les crotinettes. Donc, cela ne devrait pas poser problème majeur. C’est une adaptation à faire, avec toutefois la difficulté du sol, qui n’est pas lisse et régulier comme le sont les trottoirs. Il faudrait peut être prévoir deux modèles selon que la bouse est fraîche ou sèche. On procèderait ainsi par aspiration, ou par décollement. A étudier.
Combien faut-il de telles bousinettes ? L’objectif étant, n’oublions pas, de récupérer l’essentiel des bouses produites par les bovins, il en faut certainement pas mal. Il y a environ 20 000 000 bovins en France, chaque bovin doit bien faire 5 bouses par jour (chiffre à confirmer), ça fait, par jour 100 millions de bouses environ à récupérer (36,5 milliards de bouses par an). Quelle est la productivité, mesurée en BJ (bouse par jour) d’une bousinette ? Mettons 1 000 BJ en étant très généreux, car il faut imaginer qu’il est difficile de faire ça de façon réellement industrielle. Il faut aller chercher les bouses parmi les herbes, quelquefois sous les arbres isolés, dans la flotte quand il a beaucoup plu, et même parfois dans les bois environnants. Les bousinettes ne pourraient pas fonctionner 7 jours sur 7, car, étant donné les conditions d’exploitation, il faut assurer la maintenance de ces matériels. Cela donne plus de 100 000 bousinettes, en ordre de grandeur.
Ce n’est pas tout. Il y a environ 500 000 exploitations agricoles en France, dont une partie (je n’ai pas le chiffre) élèvent des bovins. Mettons la moitié, 250 000. pour des raisons pratiques, il leur faut à chacun au moins une bousinette. On en est donc à 250 000, et sans doute bien plus car les gros exploitants seront obligés d’en avoir plusieurs. Mais il y a sans doute possibilité, par un système de coopérative, de réduire ce nombre. En tout état de cause, l’ordre de grandeur est tout de même de 200 000 à 300 000 engins.
Pour construire les bousinettes, il faut en outre prévoir des usines, équipées de chaînes de montage, etc.
On dit avec raison que les énergies renouvelables créent de l’emploi. En voici un très bon exemple : il faut en effet des concepteurs de bousinettes, des opérateurs (de diverses qualifications), des agents de maintenance. Enfin, il faut embaucher des conducteurs de bousinettes (plusieurs centaines de mille), qu’il faut former aux diverses techniques de prélèvement de bouse. Un organisme de formation professionnelle, le CTPB (Centre Technique de Prélèvements Bousiers) est à prévoir et nul doute qu’il tournerait à plein régime.
Je n’ai pas fait d’étude économique poussée pour évaluer l’investissement nécessaire, ni les dépenses de fonctionnement. Dans ces dernières, il faut inclure l’énergie nécessaire pour faire fonctionner plusieurs centaines de milliers de bousinettes. On peut envisager (ce serait logique) d’utiliser le méthane produit par le système. Est-on seulement bien sûr de ne pas consommer plus que ce qui est produit ? A étudier.
Si on ne veut pas entrer dans cette logique productiviste, il reste la solution du ramassage manuel. C’est sans doute préférable. En terme d’emplois créés, c’est une évidence. Il fallait, dans un processus mécanisé, plusieurs centaines de milliers de personnes. En version manuelle, à la louche, il en faut 10 fois plus (n’oublions pas les ordres de grandeur : 36,5 milliards de bouses à récupérer !). Le problème du chômage en France est résolu. Génial.
Pour conclure, je citerai l’un de mes proverbes africains préférés :
« Une bouse, ça va, 36,5 milliards de bouses, bonjour les emmerdements »
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Bernard05,
comme vous avez manifestement un gros poil dans la main, je vous met en copié collé, une partie de ma documentation,
j’ai du limiter le texte, car sinon çà ne rentrait pas...
Voici un bel exemple de croissance durable, qui illustre parfaitement une dynamique de création d’emplois (40 salariés) par la mise en place d’une boucle complète de recyclage organique. La communauté urbaine Lille Métropole , dans le Nord de la France inaugurait ce mercredi la première concrétisation du programme BioGazMax , dont l’objectif est de mutualiser les experiences en matière de valorisation de déchets organiques. Lille marquait ainsi ce mercredi la mise en service d’un site unique en France, le plus gros du genre en Europe. En transformant les déchets de cuisine et de jardin en biogaz, le Centre de valorisation organique (CVO) de Sequedin approvisionnera en carburant « propre » une centaine de bus de la Communauté urbaine lilloise (CUDL).“Utiliser une ressource locale pour la flotte locale : en terme de développement durable, il n’y a pas d’exemple plus achevé que ça. La boucle est bouclée“, s’est félicité mercredi le vice-président de la CUDL chargé des transports urbains, Eric Quiquet (Verts), lors d’une visite du site.Le Centre de valorisation organique (CVO), construit sur un terrain de 55.000 m2, doit commencer à approvisionner les bus fin 2007 et être complètement opérationnel fin 2008.Il transformera chaque année 108.600 tonnes de biodéchets - issus du tri domestique, de la restauration collective ou des déchetteries municipales - en 34.000 tonnes de compost et quatre millions de mètres cubes de biogaz-carburant, soit l’équivalent de quatre millions de litres de diesel et la consommation annuelle de 100 bus.En face du centre de biométhanisation, un dépôt de 150 bus permettra leur approvisionnement direct en biogaz, et gaz naturel, pour un prix de revient kilométrique équivalent à celui du gasoil, beaucoup plus polluant.Le CVO, qui emploie 40 salariés, a également été aménagé pour transférer les déchets incinérables par voie navigable vers le centre de valorisation énergétique d’Halluin (Nord), qui produit chaque année l’équivalent de la consommation en électricité de 30.000 foyers.Seul site en France à produire du biogaz-carburant, le CVO est “une réalisation unique en Europe” par sa capacité de traitement et ses infrastructures conçues en Haute Qualité Environnementale (HQE), a souligné la Communauté urbaine présidée par l’ex-Premier ministre socialiste Pierre Mauroy qui doit inaugurer l’équipement jeudi.Le projet, qui représente un investissement de 75 millions financé en grande partie par la CUDL, s’inscrit dans la politique de développement durable lancée il y a une quinzaine d’années par Lille Métropole.Face à la croissance des ordures ménagères, la CUDL avait décidé en 1989 de modifier son approche pour atteindre “une valorisation maximale” des 700.000 tonnes de déchets collectés chaque année, en les considérant comme “une source d’énergie et de matière”, a expliqué le vice-président de la CUDL chargé du traitement des résidus urbains, Paul Deffontaine.Concernant le CVO, 650.000 habitants, sur les 1,1 million de Lille Métropole, sont invités à trier leurs biodéchets.“Il s’agit des épluchures, des fleurs, mais aussi de l’essuie-tout, des papiers gras, des mouchoirs en papier”, a précisé Pierre Hirtzberger, chef de projet du CVO, en soulignant sa “réalité palpable” pour les habitants, “la “finalité (étant) la production de carburant”.
L’Autriche championne des énergies renouvelablesFarouche opposant du nucléaire, depuis qu’un référendum en 1978 a déclaré cette source d’énergie anticonstitutionnelle,l’AUTRICHE s’est taillée une réputation d’excellence en matière d’énergies renouvelables. -
Votre documentation est intéressante, mais elle n’apporte pas de réponse au problème posé.
J’insiste qu’il s’agit bien d’un problème d’échelle. C’est que vos 90 MTEP, c’est beaucoup beaucoup d’énergie ; il faut les produire, à partir de 36,5 milliards de bouses qu’il faut récupérer dans la nature, et votre petite installation locale ne fait pas le poids.
D’ailleurs, il y a un vieux proverbe africain, variante de celui que j’ai déjà cité :
"Tu change d’échelle ? tu changes le problème !"
PS : vous avouez avoir fait un copié-collé ? Vous n’avez pas retapé votre prose ? Quelle feignasse !
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