• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

T.R.

T.R.

Jeune post-étudiant qui aime se marrer, et qui vous embrasse, puisque vous êtes là !
 
Si vous êtes curieux de me découvrir encore un peu plus, surtout ne vous privez pas d'aller faire un tour ici ! http://quilukru.blogspot.com
 
Bonnes lectures, bon surf !

Tableau de bord

  • Premier article le 18/10/2010
  • Modérateur depuis le 04/10/2011
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 15 39 421
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 75 39 36
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : nombre de réactions













Derniers commentaires



  • T.R. T.R. 11 août 2016 12:33

    @Ben Schott
    Merci de vous référer à l’onglet « annulation de la Braderie de Lille » pour la définition :)



  • T.R. T.R. 11 août 2016 12:23

    @invino
    Mais bien sûr in vino ! Voici la veritas :

    Article de wikipédia que vous pouvez lire dans son intégralité ici :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Principe_de_pr%C3%A9caution

    Le principe de précaution est formulé, dans un sens autre que scientifique, pour la première fois en 1992 dans le Principe 15 de la Déclaration de Rio : « En cas de risque de dommages graves ou irréversibles, l’absence de certitude scientifique absolue ne doit pas servir de prétexte pour remettre à plus tard l’adoption de mesures effectives visant à prévenir la dégradation de l’environnement. »

    En France, la loi Barnier de 1995 précise que « l’absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doit pas retarder l’adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à l’environnement à un coût économiquement acceptable ». La France a ajouté à la définition de Rio les notions de réaction proportionnée et de coût économiquement acceptable. La Charte de l’Environnement de 2004 a modifié à nouveau cette formulation, en lui donnant un sens sensiblement différent : les autorités publiques sont les seules à pouvoir appliquer le principe de précaution qui est devenu un principe d’action et non d’inaction : face à l’incertitude, il faut développer des programmes de recherche pour lever le doute. La science reste donc une réponse et ne peut être entravée au nom du statu quo.

    Son interprétation reste difficile et controversée. Au sens juridique du terme, le principe de précaution provient du droit de l’environnement et du droit de la santé, ayant été développé à la suite d’affaires telles que celle du sang contaminé ou de la « vache folle » 1.

    Ce principe existait à différents degrés dans les chartes et les conventions internationales comme dans certaines lois nationales. C’est dans le domaine de la santé2 et de la santé environnementale (par exemple la question du réchauffement climatique ou des zoonoses ou maladies émergentes) qui fournissent l’essentiel des sujets d’inquiétudes « graves » et « irréversibles », et donc de la matière d’application de ce principe, mais la crise économique a aussi reposé la question de la précaution dans la gouvernance de l’économie, des bourses et des banques.



  • T.R. T.R. 11 août 2016 09:34

    @Daniel Roux
    Daniel, sans compter votre attaque personnelle initiale qui déteint par rapport au reste de votre argumentation, je pense qu’on ne peut pas céder à un état de guerre permanent. « Tant que nous serons en guerre », dites-vous. Et quels éléments vous permettront de dire que nous ne serons plus en guerre ?
    Le monde moderne se dessine comme un état de guerre permanent. Il faut donc qu’on s’adapte autrement qu’en arrêtant de vivre.



  • T.R. T.R. 19 janvier 2016 17:12

    @Ariane Walter

    Si c’était que votre seule approximation ma chère Ariane, ça serait pardonnable !

    Je viens de vous découvrir sur le site, j’ai parcouru brièvement vos divers écrits à gauche et à droite sur le web... Et je m’étonne de votre acharnement pathologique à attaquer les Juifs dans tous vos articles, comme s’ils étaient responsables de votre névrose.

    Là où le débat ne se pose pas, vous voilà telle Jeanne d’Arc entendant des voix, partant en croisade et remettant autant de couches que vous pouvez pour contrer votre incontinence raciste des juifs.

    C’est fâcheux, car vous gâchez là un bon sens citoyen appréciable, au profit d’un discrédit total de vos discours.
    Vous auriez été adulée en 1940 en Allemagne et en France. Je remarque que les temps obscurs reviennent, à lire les nombreux avis de soutien vous concernant, et me consternant.

    Ce sont des gens comme vous qui participez à la haine ambiante d’un pays qui se perd. Cette haine, exprimée de manière a priori non violente, est constante chez vous, de telle sorte qu’elle instille avec perversité cette idée que les sionistes seraient responsables de tous les maux de la Planète.
    Arrêtez cette incontinence, arrêtez cette névrose et concentrez-vous sur votre bon sens qui semble être un meilleur marqueur que votre analyse géopolitique.



  • T.R. T.R. 12 décembre 2015 11:53

    @volpa
    Ca Volpa haut effectivement.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv