Il y a croyance et croyance.
L’argent, la finance sont des entités concrètes qui se sont infiltrées partout et se sont imposées comme indispensables à la survie : manger, boire, se loger ...
Impossible de s’en défaire, un cancer en quelque sorte, mais avec la complicité des individus bien entendu.
C’est toujours pareil : on veut faire porter le chapeau au système, mais le système a bien été accepté par tout à chacun, d’une façon ou d’une autre. En ça, c’est devenu une croyance ? Pas sûr, plutôt une fatalité qui vous colle à la peau.
Pour tout, il faut de l’argent, c’est effectivement insupportable.
Bienheureux soient les peuples qui vivent sans argent au fin fond de leurs forêts, ils ne savent pas à quoi ils réussissent encore à échapper.
Peut-on encore encore espérer échapper à la finance, à l’argent ?
Non, sauf en allant à la crise majeure, celle qui nous dit : « tu n’as plus rien à perdre, car tu as déjà tout perdu », et à aller couper les têtes de ces maudits barons de la finance du plus honnêtes au plus pervers qui soit.
L’astuce des pouvoirs a été de savoir exactement doser le bon niveau de contrainte à poser sur l’échine des individus pour qu’ils ne se révoltent pas, et le bon niveau de peurs qui va avec.
Quant aux croyances en général, mon idée est que chacun a la croyance qui l’arrange, de l’individu aux sociétés. Si je crois en Dieu, c’est que cela me fait du bien, mais n’allait pas imaginer que Dieu existe, car une croyance n’est qu’une illusion créée par mon cerveau pour me faire du bien, donc rien à voir avec la réalité.
L’argent est dont une idée de l’échange qui a dégénéré en maladie grave à cause de la perversité humaine et de sa folie naturelle qui n’a absolumment rien à voir avec le monde du vivant.