Il est vrai que la science y gagnerait si les pontes étaient moins dogmatiques. De nombreuses théories ont été décriées, des scientifiques traînés dans la boue, comme Wegener et la dérive des continents ; Paul Kammerer, biologiste autrichien qui en 1924 montra chez les salamandres l’existence de la transmission héréditaire de certains caractères acquis, théorie validée récemment, Darwin et l’évolution, l’origine microscopique de certaines maladies comme la pébrine du ver à soie par Béchamp...
Maintenant toute théorie décriée n’est pas forcément valable : les ponts continentaux, la morphologie du crâne et le comportement et les aptitudes cognitives...
Au sujet de la souffrance animale, j’étais effaré lorsque j’ai débuté ma carrière de technicien en agronomie de la rupture avec la réalité de certains scientifiques qui en étaient encore à l’animal machine.