Bonjour à tous, toutes et à l’auteur...(que l’on me pardonne mais je n’arrive pas à écrire « auteure », c’est plus fort que moi)...
Je suis du coin, celui de la bouvine...j’adore la course libre (camarguaise), les encierro, abrivado, bandido, déjeuners aux prés...et j’ai des frissons d’horreur devant la corrida...
Chez nous les grands taureaux (pas toros, c’est espagnol« toros ») meurent, vieux, aux prés et ont parfois une statue qu’on leur érige (Clairon, Muscadet, Sanglier, Vovo)...« grands » pour avoir brillamment oeuvré durant les courses. Je me souviens encore de « GOYA » regagnant, fier, à petits pas, son toril au son de Carmen et acclamé par la foule debout dans les arènes de Nîmes...ces mêmes arènes où des toros sans nom, baignant dans leur sang, finissent tirés par 4 mules aveugles sur un sable qui n’est pas Andalou...pareil à ce jeune soldat qui meurt au front la tête dans des herbes dont il ne connait pas le nom...
Nombreux sont les razeteurs blessés, parfois tués, chaque année...mais nos « Bious » (Occitan pour taureau) apprennent leur « métiers », sont de plus en plus malins et dangereux et rentrent dans leur famille tous les soirs...
Continuez donc Alinéa, sur ce thème...