@ franc
Je suis bien d’accord
sur le contenu de vos deux derniers commentaires. Le plus important est dans la
description de la manière dont le catholicisme s’est lui-même piégé. Le plus
grave est dans l’interdiction d’en sortir qu’il s’impose.
C’est ce qui me
confirme que le pape, le magistère et toute la hiérarchie catholique sont bien les
plus responsables de la violence
religieuse toujours effectivement commise au nom de Dieu, même si c’est
indirectement. Les bases islamiques
de cette violence pourront être combattues efficacement, et rapidement
détruites dès que l’Eglise catholique
aura renoncé à son auto-interdiction.
Les bases judaïques de
la violence ne tiendront pas longtemps non plus après un honnête réexamen
interne à la hiérarchie catholique. Je crois cependant que c’est une erreur de
ne pas demander aussi au judaïsme
de rejeter sa propre conception de Dieu - selon moi toujours aussi
indirectement criminogène - et j’ai été étonné de ne pouvoir le faire sur
Agoravox, l’article dans lequel je le demandais ayant été refusé à deux
reprises par les rédacteurs modérateurs. Je réfléchis à la manière de
reproposer la même chose d’un manière plus acceptable (c’est-à-dire, selon moi,
mieux comprise).
L’important est de ne
pas laisser les responsables religieux, tous, s’enfermer dans leur tricherie sans
que ça se voit. Il faut
inlassablement les amener devant les victimes de la violence effectivement
commise au nom de Dieu, et leur demander de repartir réfléchir à partir de
ces très concrets désastres de leurs
égarements théologiques. Il faut leur refuser le droit à la malhonnêteté
théologique dans la "tour
d’ivoire" religieuse.