Daniel Schneidermann en Monsieur Loyal...On aura tout vu.
Je conseille aux blogueurs « accrédités » ou pas de ne pas véritablement tenir DS comme oracle incontournable, ni comme baton de justice infaïllible...Si l’on se souvient des belle courbettes que l’ami pencha pour le patron de Vivendi.
Rapporté par l’ami Pierre Carles, elles valent leur pesant de courtisanerie et mettent le donneur de leçons dans sa véritable posture. Mais la mémoire fluctue et s’abime dans le flux informationnel...Pas pour tout le monde, cependant.