Julius
Les Etats aujourd’hui persécutent et briment les Européens par divers lois liberticides. Donc, au sein du peuple européen, la haine des Etats se développe de fait. Exploiter ce sentiment au profit d’un état européen démocratique à bâtir peut être une stratégie.
La limitation de vitesse sur autoroute, nous ne la devons pas à l’UE.
Les 30 km/h dans les centres villes boboïsés dans un style façon « Napoléon IV », nous ne les devons pas à l’UE.
La HALDE, nous ne la devons pas à l’UE.
Les loi Hadopi I et II, condamnées elles-mêmes par le parlement européen, nous ne la devons pas à l’UE. Ni la taxe carbone qu’on veut nous remettre, ni la loi sur les portables à l’école, ni le PACS, ni la loi sur l’avortement,ni le regroupement familial, ni le projet de « mariage pour tous ».
Les lois décidées à Bruxelles ne concernent que des questions très techniques et administratives relatives à l’économie , soit 20-25% à tout casser. Pas 80% (Des profs de droit comme Jean-Paul Jaqué, ou des Bourlanges peuvent le démontrer encore plus aisément).
Ce sont les Etats qui persécutent leurs citoyens. Ce sont donc aux Etats qu’il faut s’en prendre en priorité.