Belle avalanche de chiffres.
« La richesse d’un pays n’est pas mesurable »
C’est le PIB qui reflète pourtant cela de manière général sous forme de bilan comptable d’un pays.
« il n’existe pas d’instrument pour mesurer le bénévolat, le travail au noir, les travaux personnels et la dépréciation. »
Un PIB peut se calculer de manière précise ou approximative en fonction d’indices très explicite. Le bénévolat, le fait augmenter, donc pas de problème. Le travail au noir peut être diminué mais est-ce vraiment toujours nécessaire ? Il comble les manquement du travail officiel au niveau des petites dénigrés par les entreprises officielles. La dépréciation du matérielle est parfaitement comptabilisée. Quant à la dépréciation due à l’âge des hommes, là, il y a des problèmes à résoudre dans l’allongement des carrières ou par d’autres voies comme les robots.
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Les dettes sont bien là, la question est de savoir si elles sont intérieures ou extérieures.
Le jeux de robinets s’installe ensuite.