La vérité c’est que SOS racisme n’a pas pour vocation réelle de soutenir ceux qui ont le teint « Math »
SOS racisme est un lampadaire qui a été installé devant une lune pour la cacher.
SOS racisme n’est qu’un paravent qui, depuis ses origines, a pour vocation réelle et profonde de brider la liberté de parole de ceux qui viendraient à dénigrer le « lobby qui n’existe pas » et de neutraliser les critiques antisionistes en les assimilant à un acte répréhensible, à du racisme.
SOS racisme, c’est l’antiracisme érigé en dogme et son drapeau agité sous le nez de la foule,
pour mieux pouvoir, en sous main, en arrière-plan, contrôler la parole publique.
Cela s’analyse, cela se démontre.
il est déjà fort instructif de simplement regarder qui étaient les personnes influentes qui ont accompagné sa création : de Attali à BHL, de Harlem Desir à Julien Dray, de Guy Konopnicki à Alain Finkielkraut, de Marek Halter à ...
Les minorités visibles (blacks, beurs, ...) sont les 1ères victimes de cette machine, de cette machination.
Les juifs ordinaires (dans le meilleur sens du terme) sont les victimes par ricochet de cet appareil idéologique.
Comment s’étonner, en effet, que cette association conforte une forme d’antisémitisme primaire chez ceux qui perçoivent ses caractéristiques (manipulation et ultra-communautarisme) ?
2 liens simples :
SOS_Racisme
Un livre, Histoire secrète de SOS Racisme, écrit par Serge Malik, l’un des fondateurs du mouvement,
dénonce une instrumentalisation politique de l’antiracisme à travers SOS Racisme,
une surreprésentation de membres de l’Union des étudiants juifs de France et une marginalisation des « beurs ».
Selon Farida Belghoul, l’une des leaders du mouvement beur de l’époque,
le PS et l’UEJF ont créé SOS racisme pour détruire le mouvement beur,
dont beaucoup de militants affichaient leur solidarité avec le peuple palestinien,
et pour axer le discours non plus sur les problèmes de banlieues
mais sur la lutte contre le Front national
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Interview TV 1985