Le problème c’est le cochon.
pas l’animal.
l’homme.
le christianisme a libéré le désir.
enfin tant qu’il était là, le christianisme y parait à coup de componction et de culpabilité. un truc pervers donc. libérer d’un, coté, frapper d’un autre.
maintenant que le christianisme a sombré ne reste que le désir.
celui de posséder, de jouir, d’en profiter.
et c’est goinfrerie à tous les étages...
bientôt noël.
allez profitez en et oubliez la crise.
de foi.