L’auteur : tu nous prends pour des blaireaux. Ton histoire, ça fait juste l’objet du genre de mail qu’on s’envoie entre carnets d’adresses. Tu t’es un peu gonflé pour le titre et le début pour faire retomber très vite le soufflet dans une histoire de blaireau. Bref, effectivement ça pollue bien. Ben ouais... ben ouais ...