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MdeP MdeP 6 avril 2014 15:17

MdeP @ l’auteur

Pourquoi la mort ?

Parce que le vivant génère le temps. Que ce temps du vivant est un temps fini, par opposition à l’infini d’une courbure gravitationnelle (ce que j’ai écrit avant la « découverte » publiée ces derniers jours car j’avais estimé que l’univers en expansion se comporte comme s’il était porté par une vague. Ce qui est d’ailleurs la preuve d’un big bang).

Pour que la vie soit possible, des conditons doivent être réunies en même temps. Et notamment, et surtout, il faut un bouclier thermique – la magnétosphère – qui protège le vivant des UV mortels. Les océans (un océan mondial, en fait) jouent naturellement ce rôle. C’est bien au fond des océans, près des sources hydrothermales, que la vie a commencé grâce à cette magnétosphère naturelle.

D’autre part, si le vivant a pu se maintenir pendant tous les bouleversements géologiques et climatiques, c’est parce que l’oxygène est présent dans la croûte terrestre.

Le virus est un organisme conscient qui obéit à un réflexe de survie. Et l’univers est conscient mais il n’est pas vivant. Car il est statistiquement impossible que toutes les conditions nécessaires à la vie soient réunies en même temps ET au même moment dans notre univers.

Car le vivant fonctionne, en effet, à la lumière artificielle (avec l’électron). Il mime la lumière naturelle (du photon). Le vivant fonctionne sur une fréquence qui n’est pas la même pour tout le vivant. Si vous changez la fréquence du vivant, et notamment en ne le protégeant pas des UV mortels, il meurt. En fait, il « grille » et devient de la matière inerte.

Vous pensez tous que la conscience est notre faculté de nous sentir exister. C’est totalement erroné.

La conscience, c’est la capacité de mettre en oeuvre ce fameux réflexe de survie (auquel tout le vivant obéit), de générer une fréquence pour fonctionner, de la sélectioner plus précisément, de générer le temps.

« La clé de la conscience réside dans l’opération d’appropriation de la lumière par sélection « deux en un » par le vivant, de la fréquence lumineuse sur laquelle il va fonctionner parmi toutes les fréquences de la lumière blanche et de la fréquence sonore du bruit blanc qui lui est associée dans une bande de fréquences... Ainsi le vivant, qui sélectionne (détermine) la fréquence sur laquelle il va fonctionner, s’approprie réellement la lumière : c’est en cela qu’il porte une conscience exprimée dans ses capacités à la motilité et à la manifestation de sa présence de moins en moins silencieuse au fil du temps. »

Ceci est un condensé. Tapez les mots clés.


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