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Werner Laferier Werner Laferier 7 juin 2014 17:58

Nous avons à faire à une parodie, une farce de démocratie, l’avenir en Syrie doit se faire sans Assad.
Assad ne tardera pas à s’effondrer, son peuple est actuellement en révolte contre son régime tyrannique et sanguinaire.
Honnêtement, n’importe qui savait qu4assad serait « réélue », il faudrait être fou pour croire le contraire.
Ce que je vois, c’est que les occidentaux doivent s’activer afin de libérer ce peuple meurtrie, une intervention militaire avec la résistance locale est nécessaire.
il n’y a que dans les zones contrôlées par Bachar que des votes ont eu lieu et forcement, vu la répression, les gens ne votent pas contre lui, répression qui dure depuis 40 ans déjà.
Bachar, c’est quand même un dictateur qui extermine la partie de sa population qui n’est pas d’accord avec lui comme Saddam, Kadhafi et compagnie armé et soutenue pas la Russie du tyran clownesque Poutine, qui n’aurait jamais du être invité en Normandie, un isolement total de Poutine aurait du s’exercer.
Je préférerais voir Damas et ses alentours en ruine suite à des bombardements alliée que d’assister quotidiennement aux massacres de civiles par Bachar et ses acolytes.
Il eut quatre dictateurs qui se sont fait succédés promptement par leurs fils à la tête de l’État tout en ayant recours au vote :

Hafez el-Assad par Bachar el-Assad
Laurent-Désiré Kabila par Joseph Kabila
Omar bongo par Ali Bongo
Kim Jong-il par Kim Jong-un

Si ce n’est pas des républiques héréditaires et bananières « mutantes » dans les faits alors, c’est quoi ?
Les occidentaux se sont juré de faire respecter le droit international, la démocratie et de ne plus permettre à Hitler de revenir au pouvoir, hors, dans le tiers monde, nous avons plusieurs Hitler ou fils spirituel d’Hitler, une mission civilisatrice par les occidentaux devraient donc s’exercer afin d’éviter ce genre de traumatismes, dont la Syrie est victime.
Pour pouvoir contester un régime il faut déjà avoir quelque chose pour comparer, il faut savoir comment ça se passe ailleurs, raisonner, analyser, choisir, mais dans une dictature on n’a rien d’autre pour comparer, donc on s’attache au seul système qu’on connait. Les Nord Coréens ont pleuré Kim Jong Il, et les Soviétiques ont pleuré Staline.
C’était pareil sous les monarchies traditionnelles d’ancien régime, tout le monde aimait son bon roi et acceptait l’ordre établi, tout simplement car pour contester un système il faut déjà en connaitre les alternatives.

Pour conclure, dans un système fermé, l’immense majorité du peuple n’a accès qu’à la propagande du système dictatorial, aucune voix alternative ne lui est proposée.


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