Bonjour,
Le football professionnel est devenue une entreprise qui se sert dans les caisses publiques, ceci sans gène, pour réaliser des projets discutables, surtout en période de crise.
Le Brésil sortira déficitaire de cette coupe de monde... mais il n’y pas que le Brésil ou sa fait mal.
L’association Trans’Cub,
qui s’est procurée le plan de financement du Grand stade de Bordeaux,
dénonçait en conférence de presse, le vendredi 16 décembre 2011, un coût
d’ouvrage estimé à 551 millions d’euros, au terme des 30 années de
partenariat public privé (PPP) conclu entre la ville de Bordeaux et le
constructeur
Vinci-Fayat.Les 175 millions d’euros de budget annoncés par la
municipalité serait donc largement dépassés. Selon l’association, le
contribuable deviendrait alors le plus gros investisseur du projet,
payant plus de 51% de l’investissement final. Et oui les impôts locaux commencent à flamber à Bordeaux ...
En 5 ans, la taxation par habitant a augmenté de plus de 40% à Clermont-Ferrand, Rennes, Angers, Metz ou Le Mans. Mais les champions restent Grenoble, Montpellier et Bordeaux.
Ses fameux contrats PPP riment souvent avec surfacturation .... et sont à l’opposé du service publics.
Il ne faut pas s’étonner que la dette publique de la France explose, et que le pouvoir d’achat des gens ordinaires baisse.
L’Empire du football professionnel est géré dans une opacité totale accompagne par des affaires des corruption par l’empereur Sepp Blatter qui contribue au surendettement des pays.
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