Hors de croyance en un être imaginaire, point de morale ? Ca fait longtemps qu’on a démoli cet argument débile. Il va falloir trouver autre chose.
Quand un enfant a un ami imaginaire, on considère que c’est pathologique. Quand des millions d’adultes ont un ami imaginare, on dit que c’est la base de distinction entre le bien et le mal. J’ai un peu du mal....
La seule base de la morale, c’est l’humanisme. Préserver l’espèce. Et ça devient de plus en plus dur avec tous ces frappadingues eschatologistes, qui secretement espèrent l’apocalypse (nucléaire ?) et s’en rejouissent. C’est bien ça, le cancer de l’humanité.