Cher auteur, comme l’ont rappelé certains intervenants, le chômage est voulu et en fait, il n’existe que par volonté et non par fatalité. Résorber le problème du chômage dans la conjecture d’aujourd’hui est bien plus facile que de le maintenir. C’est contraire aux apparences, c’est certains.
Vous écrivez
"Donc, il y a une large part des citoyens qui sont satisfaits de cette
situation en se fichant pas mal du chômage, du problème de l’ouverture
des frontières, etc."
Vous sortez ici tous les poncifs véhiculés et martelés par les médias meanstreams, mais là aussi, rien de fataliste sinon la volonté d’une ploutocratie afin de défendre ses propres intérêts et dont l’art est bien de savoir manipuler les autres. Ici, il ne faut pas tant regarder des personnes en particulier mais bien un état d’esprit, une ou plutôt des natures d’être.
En fait donc, rien de plus facile aujourd’hui de régler les pseudos problèmes du chômage, de l’immigration, etc... Mais voilà, c’est pas du tout amusant pour les natures d’être prédatrice, charognardes et parasites.Eh oui, l’argument fort des néolibéraux est simplement de dire que tous les autres systèmes sont ennuyeux à l’exception du leur ! Des gens meurent ou en souffres ? Eh bien tant pis pour eux ou alors, qu’ils inversent le rapport de force !