Merci pour cette mise au point qui me rassure sur le fait que tu n’avais pas manqué le gorille dans la pièce soralienne.
Il me semble quand même que ç’aurait été l’occasion de l’évoquer mais comme tu viens de le faire, tout va bien.
Venons-en
donc à la question cruciale que tu poses fort à propos et qui reste la
« question vexante » de la dissidence dans la mesure où personne n’a pu
proposer de réponse satisfaisante.
Il y a des débuts de réponse comme
la réinformation à laquelle procèdent de nombreux sites sur internet et
dont il faut saluer les efforts mais cela suffira-t-il à éveiller assez
de consciences individuelles pour passer un seuil critique, de quoi au fait ?
Une
révolution ? Les indignés et les anonymous ont fait long feu et il
semble qu’il ne reste que les diabolisés de l’Empire pour lui résister
mais combien de temps encore ?
Poutine est férocement cerné par sa cinquième colonne atlantosioniste (voir les sites du Saker super informatifs sous ce rapport).
Mon
sentiment est que passé un certain seuil, il n’est plus besoin
d’espérer pour entreprendre. Donc même si nous ne pouvons faire que de
la réinformation et de l’éveil des consciences, cad, être les témoins de
la violence de ce monde (qui n’est clairement pas islamique mais bien
plutôt atlantosioniste) et éclairer ses mécanismes, (dont le mensonge
est le principal moteur), eh bien, nous n’aurons pas perdu notre temps !
C’est
pourquoi je perçois le message de Soral comme actuel et pertinent.
Qu’il cherche encore des solutions n’est pas preuve que sa représentation est
inadéquate. Tout au contraire, avec lui, avec l’ampleur des pressions
dont Dieudonné et lui font l’objet ici en France, nous mesurons bien la
puissance du lobby à l’oeuvre.
Dans toute cette lutte, je pense quoi qu’il en soit, comme je le disais dans mon article sur l’innocence logique et obligatoire d’un point de vue légal de tous les peuples, nous avons à être impeccables lorsque nous désignons les agents de l’Empire.
Il
me semble, en effet, que le mot « juif », quelque fonction qu’on lui
donne, ne devrait plus apparaître dans le discours de l’opposition au
N.O.M. seulement, peut-être pour désigner des faits historiques qu’il
serait insensé de ne pas présenter ainsi.
Bref, pour ma part, à l’imitation de Paul-Eric Blanrue qui sait de quoi
il parle (vu ce qu’il subit aussi), je privilégie l’idée de réseaux
pro-israéliens mais je m’autorise aussi une référence claire au sionisme
car je pense qu’il n’y a aucun risque de contrevenir à la loi en
opérant des mises en causes indues. L’important est de ne pas faire
d’amalgames. De ne pas mettre en cause tous les sionistes (il y en a des
gentils, j’en fus un il n’y a pas si longtemps... )