Je ne suis pas pour Fourest mais effectivement son libre est plein de bon sens, et essaye notamment de remettre un sens sur les mots. La distinction entre le blasphème et le racisme est fondamental, et on voit combien les amoureux du tabassage de journaliste usent de cette confusion.
Pour une fois qu’elle écrit quelque chose de vraiment intelligent, l’impartialité impose de le noter.