Dois-je vraiment répondre à ce genre de propos ?
Dans une démocratie, il y a des actes autorisés et d’autres non. La réponse est dans la formulation pour ce qui concerne des revendications « nazies » ou « pédophiles ». Mais...
Mais en criminologie, pour effectuer une réparation, on donne tout autant la parole à la victime qu’à l’agresseur. Cette technique fonctionne. Mais nous avons dépassé le champ démocratique dans cet exemple.
En ce qui concerne des idées extrémistes, faut-il les autoriser où les rendre tabou ? A diaboliser le FN, on a vu ce que cela donne. Donc, oui, il faut une dose de proportionnelle, que chacun puisse s’exprimer. Au lieu de laisse vivre dans la frustration et ourdir de la haine. Ne pas le faire serait avoir peu de confiance dans notre capacité à vivre ensemble.