Recentrons le débat.
Que nous apprends l’épigénétique ? Qu’il y a plus que la biologie à l’oeuvre. Ainsi les émotions ressenties par la femme s’imprègnent dans les gamètes de l’ovule qui sera libérée. C’est la même chose pour les gamètes des spermatozoïdes de l’homme.
Donc, l’enfant non désiré/voulu avant, pendant et après la naissance portera un programme de non-reproduction qui s’exprime par la recherche d’un correspondant et non d’un complémentaire. C’est ce que le voile « homosexuel » cache.
Alors, comment voulez-vous avoir une société bien ordonnée quand la majorité des humains sont programmés pour ne pas se reproduire, pour le court terme, pour le non respect de l’environnement, le leur propre comme leur corps ou la société ou la nature ?
En conclusion, l’interruption de grossesse doit être accessible à toutes femmes dont le niveau de conscience le demande, peut importe la raison. Quand à la réciproque, le refus de consentement des géniteurs, en toute égalité POUR LE BIEN ÊTRE DE L’ENFANT, doit entraîner l’interruption de la grossesse.
La Société doit cesser de gaspiller de colossales ressources parce qu’elle permet la production d’humains défectueux.
Comme je le l’écrivais :
@ Tous
La solution c’est la fille. C’est la matrice qui doit être mise à jour, nettoyée de ses virus transgénérationnels.
Chaque fille doit dresser sa biographie (philo et ontogenèse) à l’école avant de se reproduire afin de devenir consciente et de ne pas transmettre ses « virus » à la génération suivante.
Une fois cette étape franchie, je lui ferai confiance pour la suite de la société.
Cordialement.