Je vais chez certains sûrement passer pour un c.. mais, ne parlant ni ne comprenant le shakespearien, je ne me suis conséquemment contenté, durant de longues décennies, que d’écouter l’espace musical de ces révolutionnaires de la musique pop de l’époque, après une fréquentation assidue du Golf Drouot, producteur de yéyé chaque vendredi au tremplin ! Au fond, Beethoven n’a pas écrit de paroles sous ses notes merveilleuses et universelles...ce qui n’altère en rien la valeur de son oeuvre et en quoi il serait imbécile d’être séduit par les quatre de Liverpool autrement que musicalement sans oublier non plus la part de nouveauté en ce sens apporté aux compositeurs qui ont suivi ? Un cantique chanté à la messe les paroles y sont importantes mais là, à part « l’Internationale » - dont j’affectionne l’ensemble - je n’ai vibré qu’aux sons des voix et des instruments et des harmonies qui parvinrent de l’oreille... au coeur ! Il est vrai que des gens se passionnent - et se divisent puis se battent - pour savoir absolument par combien de clous le Christ fut-il transpercé pour defuncter... trois jours durant ? Bon dieu restons simples et apprécions au mieux de nos capteurs !
Salutations.