@adimante
Merci pour votre réponse.
Si je comprends bien vous supposez qu’une part conséquente de ces étrangers sont de l’UE, ont soit un livret G, un livret L, ou un livret B et sont au chômage. Ou alors je ne vois pas bien le poids qu’ils pourraient peser dans d’éventuelles négociations.
Pour les investissements directs, je vois des chiffres assez semblables dans un sens ou dans l’autre. Donc, à moins d’une différence importante dans la structures de ces investissements, je ne vois non plus pas trop l’avantage qu’on pourrait en tirer.
Vous avez probablement un avis là-dessus, que vous n’êtes bien entendu pas sommé de donner !