@rosemar
Pour éclaircir le propos il faudrait ici faire la distinction entre qualité et quantité. « Ça grouille » de contacts superficiels sans aucune qualité, alors qu’avec la solitude dont parle Gollum, l’occasion se présente alors d’approfondir quelques rares (tout est relatif évidemment) relations et de tendre alors vers la-dite qualité que peuvent nous offrir celles-ci. On a tous à choisir entre qualité et quantité.
Il est essentiel de comprendre, et en ce sens j’abonde dans le sens de Gollum, que la solitude est inévitable pour un équilibre sain pour la simple et bonne raison que sans elle on ne peut pas se trouver soi-même — et c’est précisément ce qui effraie ceux qui fuient la solitude. Et si on ne se trouve pas soi-même, que partage-t-on avec les autres ? Seulement des masques et des illusions.