Pourquoi le travail est mort ? Parce qu’on l’a tué !
Il y a tout simplement que le chômage et la précarité de l’emploi, aussi les travailleurs pauvres, sont devenus les seuls modes d’ajustement de notre économie capitalistico-financiariste !
On ne peut pas raisonner sur la santé économique d’un pays en ne voyant que son taux de « chômage », comme en Allemagne et aux États-Unis, qui est l’arbre qui cahe la forêt de la « pauvreté » ; il faut en même temps regarder le taux de pauvreté du dit pays et là les choses sont bien moins éloquentes !
Avec le financiarisme, il ne sert à rien d’investir dans le travail, dans le « capital humain », puisque la fnance à trouvée la « pierre philosophale » ; elle fait, à la « nanoseconde », avec les algorithmes financiers, de l’argent avec de l’argent ?
L’économie, la vraie économie relève de la logique d’ensemble, étymologiquement et fondamentalement... car toute dépense à un endroit est une recette ailleurs : fantastique : non ?
On est dans un « déni » d’économie ! Ainsi, le capitalisme comme le financiarisme relèvent, d’une « logique exclusive », on ne peut plus « particulière » et non de la « logique d’ensemble » sensée éclairer l’économie : un déni d’économie ! cette logique particulière, « exclusive », qui veut que toute dépense à un endroit soit surtout et prioritairement une recette, et au minimum du 15 %, pour le capital et la finance ! La désormais répartition financiariste de la valeur ajoutée nous éclaire sur la question car elle a énormément baissée pour le travail, le capital humain, et beaucoup augmentée pour le capital et soi-disant l’investissement financier pourtant situé à son plus bas niveau dans les pays dits développés.
Comment, sinon, en étant totalement décérébré, peut-on réduire un système aussi complexe que l’économie à un des moyens qui lui est certes utile et nécessaire, masi de façon accesssiore et non principale !
Quelle grande misère intellectuelle et surtout économique de cette époque !