Le 11 janvier 2015 fut pour moi un jour de cauchemar et de révélations, c’est là que j’ai pris conscience de l’étendue de l’imposture du « camp du bien » et du formatage des peuples dits « libres »
4 millions de personnes appartenant à la classe supérieure défilent dans les rues, plus pour se réclamer d’un slogan ( je suis ) que pour pleurer les victimes à laquelle ils ne peuvent qu’être insensible. Ce sont ses mêmes personnes qui applaudiront les soignants depuis leurs fenêtres pendant le confinement.
Et que dire des chefs d’états invités et défilant pour la pose en dehors de la foule.