En fait, il serait tout à fait possible de considérer la religion, comme un délire collectif admis, encouragé, culturel.
Au nom de la religion, combien de morts, d’opprimés ? La religion pour appuyer les politiques, comme à l’époque du franquisme. l’inquisition pour combattre l’hérésie avec l’exécution d’un Giordano Bruno, le massacre de la Saint-Barthélemy...
Ce que nous vivons aujourd’hui m’y fait forcément penser. Nous sommes dans une religion sanitaire. Avec des mantras et des gestes à respecter. Une sorte de superstition des foules. Un nouveau Dieu appelé « Terreur » pour s’opposer à la Nature qui me fait plus penser à de l’irresponsabilité qu’à de l’obscurantisme.