@GerFran
La première question qu’ils devraient se poser est : pourquoi ces surrisques ? (l’ARNm injecté lui-même, la spike produite, les adjuvants, une réaction inflammatoire auto-immune... ?)
Deuxièmement, puisque le vaccin n’est pas injecté à proximité et ne vise pas le coeur, il n’y a pas de raison de penser que les effets négatifs du vaccin ARNm se limitent au coeur. C’est juste qu’un effet sur le coeur se perçoit immédiatemment.
Ensuite seul est étudié le surrisque sur une courte période (quelques semaines), mais quelles conséquence d’une myocardite/péricardite à 20 ans sur l’espérance de vie ? Surtout si on ignore par quel mécanisme elle a été déclenchée.
Et pour terminer la phrase usuelle : ’ce surrisque ne remet pas en cause le rapport bénéfice/risque’. Mais bien sûr que si, puisque l’on a augmenté le dénominateur ’risque’ (tandis que le numérateur ’bénéfice’ lui diminuait d’abord fortement par la faible durée de protection que l’on observe en condition réelle, et ensuite drastiquement avec le remplacement de Delta par Omicron).
Le surrisque total pour un jeune s’étale sur 70 ans. Mais les études longues, ne serait-ce que sur 10 ans, risquent de ne pas avoir lieu, et elles arriveront trop tard.