Donc si on en juge par vos extraits et cette recension, pas un mot sur le soutien américain et européen à la pseudo-révolution, en fait un bon vieux coup d’Etat, quasiment ouvertement avoué (cf déclarations d’officiels US), pas un mot sur les lois déclassant la langue russe, étincelle des diverses rébellions, ni sur les répressions féroces, les soldats partagés entre les deux camps (avec leurs armes), pas seulement stoppés par des vielles féroces. Ni a fortiori un travail d’historien. Un roman à charge, donc, presque de propagande, OK.