à l’auteur,
Je
soutiens entièrement votre thèse s’agissant de la personnalité de François Asselineau qui le dessert profondément, et aussi de sa stratégie consistant à
refuser de s’allier (préférant plutôt demander aux autres de bien vouloir le
rallier) avec des formations comme le PRCF, le Pardem, Solidarité et Progrès (S&P),
Génération Frexit, voire République Souveraine (RS) de George Kuzmanovic
(l’ancien bras droit de Mélenchon en 2017), et même Les Patriotes (même si
l’ex-chevènementiste Florian Philippot s’est quelque peu perdu en allant
frayer au FN) : lesdites formations étant toutes également pour la triple sortie, ou peu s’en faut pour RS et S&P.
Finalement,
FA est un homme seul, désespérément seul. Mais cela n’a pas toujours été
le cas. Il fut un temps où il avait à ses côtés, des gens comme Valérie
Bugault, Régis Chamagne, Charles-Henri Gallois, et aussi une armée de
militants (> 24000 au compteur sur la page d’accueil du site de l’UPR
jusqu’au début de 2020).
Tout ça
est bien fini depuis la crise de l’UPR en 2020. Je ne prends pas
position sur la nature de cette affaire, je ne fais que constater.
Un
dernier mot : savez-vous pourquoi la réunion électorale du vendredi 6
octobre 2023 à Toulouse n’est toujours pas accessible en ce qui concerne
les questions-réponses (donc la seconde partie) ?
Moi je sais : j’y étais.
Bien cordialement.
Thierry Saladin