La première chose est de prendre en considération le revenu net après prélèvements et subventions, et intégrant la valeur de service public utilisé. En France, l’écart de revenu brut est alors divisé par quatre.
Mais il reste évidemment une partie de population sous un seuil de pauvreté absolue -non pas statistique (car la moitié du revenu à Monaco est le seuil de pauvreté statistique local, sans rapport avec celui de l’Albanie)-. Ce seuil absolu est désigné par ’’pauvreté matérielle et sociale’’, conduisant à ne pouvoir couvrir 5 sur 13 besoins usuels.
Là devrait porter l’effort d’aide à la réinsertion, car mieux vaut des emplois aidés que de l’assistance mal orientée.
PS : à propos de la remarque de l’article concernant la Réunion et pouvant s’appliquer à d’autres territoires, les prix sont très élevés dans le circuit officiel, mais une partie de la population vit par autoconsommation, échanges, logement traditionnel, très chichement mais à moindre cout.