Nous avons ici le compendium des arguties répandues au fil des commentaires de l’auteur, sans tenir compte des réfutations (la scie sur les 27 sondages par exemple, sondages basés sur les résultats du premier tour où le bloc national a obtenu 11 millions de suffrages contre 9 pour la gauche, le mode de scrutin majoritaire ayant été inversé par la combine NFP-macronie au second tour ce que les sondages n’avaient pas suffisamment pris en compte)
Mais bon, il est vrai que les électeurs du plus important courant politique se ’’posent des questions’’ après avoir été floués par le système électoral. Ils réalisent qu’ils ne pourront pas obtenir seuls la majorité absolue, et qu’il faudra bien que ce courant entre dans des alliances (au scrutin proportionnel de préférence).
Le parti qui était essentiellement ’’protestataire’’ (comme l’est la LFI) opère une transition vers un plus grand réalisme, et poursuit le ’’ménage’’ en son sein par rapport au passé jean-mariste.
On peut donc acter qu’il n’était pas prêt cette fois, et qu’il y a eu illusion sur l’issue du scrutin.
PS : néanmoins le courant ratatiné par une collusion électoraliste contre nature, et ostracisé, se retrouve en position de pouvoir faire pression sur le nouveau gouvernement, le NFP se trouvant relégué en une opposition sans influence, inattendu retour de balancier.