« Et, comme en sciences on ne peut pas prouver l’inexistence, » (troisième paragraphe). Mais pourquoi diable voudrait-on faire cela ? Contentons-nous de ce qui existe, ça nous donne déjà bien du fil à retordre.
Vous aimez les paradoxes, en voici un autre : on ne peut pas dire, je suis un menteur.
Avis à la population, le noeud gordien a déjà été tranché. Voulez-vous en inventer un autre ? Ca m’en a tout l’air.