C’est plus un « gou-vert-n’Ment » c’est la galerie des monstres !
Une espèce de musée Grévin, de toutes les faces de cire, stockées dans les catacombes élyséHaine, et qui ont déjà bien servis, à bien des messes noires, dont le triste Sire en place, les allume de mèche en mèche, sans qu’il ne se dégage jamais une once de lumière et d’intelligence !
Ce sont des morts, dans le cirage, ne vivant, que pour leur gloriole personnelle, en attendant que leur « pot, » soit reconverti en linceul.
Mais comment peut on accepter de laisser des vies populaires, se laisser consumer comme cela, juste parce que la prérogative d’être « présidiot » semble instaurer un no mans land crapoteux, où, les sujets doivent se contenter d’admirer le bain de luxure, et d’ignominie, qui entache tout ce qui est à portée, et même au delà du solide, c’est à dire, l’esprit déconfit, d’une France prosti-tuée ?