La question que l’on peut se poser est de savoir s’il aurait été possible d’arriver à une conciliation qui aurait maintenu l’indivision du christianisme, où si d’emblée les positions étaient tellement incompatibles qu’aucune entente n’était possible.
Notons que sur l’aspect de la prépondérance de la foi, une position commune semble désormais trouvée entre catholicisme et protestantisme (les oeuvres étant inspirées par la foi). Reste la question de l’universalité de la grâce ou d’élus préalables.