Dans cette aventure, j’y vois deux phénomènes, l’un persistent et l’autre de plus en plus inquiétant.
le premier est l’influence de la religion. Il n’est plus que temps d’émliminer définitivement les religions, toutes les religions de la sphère publique. Les dogmes ne peuvent pas avoir cours dans une démocratie, par essence du dogme même : é-li-mi-nons, nous ne nous en porterons que mieux.
Le second est vraiment plus dangereux, car il présuppose le devenir de nos états, de notre société. le régionalisme, qui confond diversité et indépendance est actuellement fortement encouragé a mots couvert par Bruxelles. L’europe souhaiterais que se developpent des régions comme la Catalogne, car cela represente la taille economique ideale. Point trop gros, point trop petit.
— point trop gros pour que les puissances financieres et politiques soient hors de portée d’une region ambitieuse... ;
— point trop petit pour que l’environnement soit porteur economiquement et politiquement... ;
L’espagne (et la belgique probablement) sont a la mesure de ces orientations européennes, l’allemagne etant déjà toute acquise. L’italie verse en silence depuis des decennies dans ce modèle et le micro-etats européens ne voient même^pas le problème.
Alors, mon dieu, qu’en Espagne Juan-Carlos soit contesté, ce n’est que la nature même des choses : la religion et l’europe... deux domaines que le peuple devrait VRAIMENT controler.... pensez y au moment du traité simplifié.
La, sur le coup, je vais rejoindre Lerma au decompte des points !