« Plus étonnante est la réaction de la famille Erignac », dites-vous fort pertinnement me semble-t-il. On comprend mal effectivement l’émotion de Mme Erignac dont le mari n’a jamais reçu que trois balles dans la tête, un soir de février 98 alors qu’il se rendait au théâtre en compagnie de son épouse...