De source assez sûre, le calcul de Sarkozy pour les prochaines présidentielles est :
En 2008 et début 2009 on se fout de l’impopularité, des claques électorales. On fait passer le plus possible de mesures impopulaires.
Au cours de 2009, on utilise la sortie de crise de croissance, programmée par de nombreux analystes fin 2009 début 2010 pour dire que les mesures prises ont payé et que Sarkozy a sorti la France de l’ornière. En 2012, il est réélu (pense-t-il).
Evidemment c’est du pipeau, car il ne peut rien contre ou pour le ralentissement de la croissance mondiale mais faites confiance à son talent de communicant.
Reste évidemment à prier pour que les économistes, une fois de plus, ne se trompent pas dans leurs prévisions et pour qu’une majorité de Français ne lui tienne pas trop rigueur, croissance ou pas, d’un comportement assez lamentable.