Ces jeunes sauvages, font partie de l’espèce humaine (sic !) ils ont baigné toute leur vie dans une société sexiste et machiste qui confond la femme avec un objet sexuel que l’on ridiculise, que l’on viole et que l’on peut tuer aussi ! Ces déviances sont dues à un défaut d’éducation parentale mais également sociétale qui promeut la femme-objet (séries policières, jeux vidéos, magazines féminins et masculins, pornos) sensée assouvir tous les fantasmes à des primates mâles involués.
Autre problème, nous devons faire face à une société qui laisse s’exprimer des groupes de pression religieux intégristes prosélytes étrangers (islamistes) qui tentent de remettre en question la laïcité, et la mixité et font un travail de sape en bourant le crâne de leurs ouailles de dogmes et préceptes archaïques. Les autres groupes religieux (catholiques et juifs) qui n’osaient pas se manifester dans les années 70/80 recommencent eux aussi à imposer leur vision religieuse jusqu’au sommet de l’Etat !
Une étude publiée en 2007 par l’Association américaine de psychologie démontre les répercussions négatives de la promotion de stéréotypes féminins sexistes, notamment sur le fonctionnement cognitif, la santé physique et mentale, la sexualité, les attitudes et les croyances. En plus d’encourager la banalisation de la sexualisation de l’espace public, ces pratiques ont des impacts sur le développement identitaire des personnes, tant les femmes que les hommes, et elle affecte particulièrement les jeunes, qui utilisent régulièrement les moyens de communication tels le cellulaire et Internet.
La politique gouvernementale pour l’égalité entre les femmes et les hommes doit être développée. A quand l’interdiction des pubs sexistes, littérature policière ou d’horreurs, des jeux vidéos, séries TV, films dégradant l’humanité des femmes ? Il est plus que temps de cesser de répéter des slogans sans mettre en pratique des politiques coercitives afin que l’égalité de droit devienne une égalité de fait, et le plan d’action qui en découle contiennent des mesures en vue de favoriser une socialisation non stéréotypée des jeunes et d’inciter les médias à promouvoir des rôles et des comportements non sexistes.