On ferait bien mieux de s’interroger sur la traite des femmes, ou bien pour le dire d’une façon plus prude sur l’exploitation humaine (via des contrats mal payés pour la plupart, des cadences malsaines, l’utilisation de filles en provenance de pays à faible niveau de vie, ou le gavage au médicaments quand le moral va mal...), qui sévit dans le porno moderne, plutôt que sur la légitimté du porno lui-même...