En fait ce déni de soins est un non respect des droits de l’Homme, doublé d’une incompétence scientifique. Bien que le terme ’’génocide ’’soit académiquement incorrect, c’en est bien un, de génocide, si la théorie des chercheurs suppose une solution uniquement dans les gènes ou l’ADN, et , ne la trouvant pas, font souffrir les patients et leurs familles.
C"est une attitude psychiatrique typique, que l’on retrouve avec des traitements par électrochocs, psychotropes et camisole chimique, qui ne marchent pas. Les patients sont détruits plus ou moins rapidement malgré une pseudo recherche par trop lucrative.
Tous les psychiatres doivent-ils être mis dans le même sac ? Oui, tant qu’ils n’acceptent pas de partager les soins avec d’autres acteurs éducatifs, sociaux et scientifiques. Il faut qu’ils montrent davantage d’humanité effective avec leurs patients. Alors leur manque de connaissance serait-il accepté par les autres, et surtout par eux-mêmes ( ce qu’ils refusent de faire de manière prétentieuse...)
Ainsi refuser une formation éducative en parallèlle à la recherche situe n’importe quel individu dans le clan des criminels eugénistes.
A ma connaissance il n’y a pas de courant antipsychiatrique officiel en France qui s’oppose à l’orthodoxie actuelle de cette profession. Elle n’ use que de faux-semblants sociaux auprès des familles, médias, élus et tribunaux : ces sont là leurs relations publiques.
C’est un bien dur réveil, mais ce sont des faits : la psychiatrie est anti-sociale dans ses pratiques.