Que les journalistes français ne savent pas parler anglais, on le sait. Qu’ils ne savent pas parler français, on le sait aussi. A preuve, les bulletins d’information sont remplis de gens qui "supportent" tel ou tel candidat (au lieu de "soutenir"), de "sanctuaires" (au lieu de "refuges"), et autres "performances" et "intelligences"... Alors quoi de neuf ?