Pour préparer l’opinion publique internationale à une action militaire
contre le Venezuela, la propagande US soutient que l’administration
Chavez facilite les cartels de la drogue. Cette accusation est d’autant
plus extravagante que le gouvernement révolutionnaire considère de son
devoir d’éduquer et d’émanciper les toxicomanes et qu’il lutte durement
contre les trafiquants. Tel n’est pas le cas des États-Unis, à l’abri
desquels la production prospère en Colombie et en Afghanistan.
http://www.voltairenet.org/article162062.html