C’était peut être le but.
Montrer un Batman dépassé, un Wayne usé prêt à baisser les bras face à un Joker sans complexe. Le premier se plie sous le poids de son masque qui l’use de plus en plus, est prisonnier de ses « barrières morales », obsédé par sa « vie » qui lui glisse entre les doigts, le second n’a « aucune » limite et est épanouie.
Bale a justement compris ce que Nolan attendait de son personnage et l’a rendu sans accro.
Des exemples de rôles où cette fois il campe des personnages plus « expressifs », on vous en a donné plus haut.