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« Le suivi des survivants d’Hiroshima et Nagasaki montre qu’il n’y a pas de conséquence sur les personnes au-delà de 2,5km du point zéro, et le suivi a été fait sur 60 ans.
Les Japonais ont reconstruit les villes six mois après les explosions et là aussi pas d’influence sur la santé des Japonais séjournant sur les lieux..
Alors que penser des personnes malades qui ont assisté à un tir à 20 km ? »
- C’est là déjà une erreur , nous pas de suivi du tout .
- Appelés lâchés dans la nature après leur service et non recensés à nos jours , des dizaines de milliers .
- Laissons , faire les autres et mourir les nôtres .
- Le malade qui a assisté à ces tirs à 20 ou 30kms , ce chanceux ne revenait lui que le lendemain mais pour de longues périodes .
- Et quoi encore , il aurait fallu que je reste .
- De quoi est ce que je me plains , donc ?
- N’étions nous pas au CEP (centre d’Expérimentation du Pacifique)
- Dans les deux villes japonaises citées plus haut , les défenses immunitaires
des survivants s’effondraient laissant donc la porte ouverte à toutes les agressions possibles sur les organismes .
Encore beaucoup d’autres découvertes à faire si nous recensons chez nous , mais chuttt : c’est déjà trop tard pour beaucoup !
- N’étudions pas , attendons , constatons .
- Là …........ trois des solutions !
j.n.j