Le concept de syndicalisme chrétien semble avoir du mal a survivre aux innombrables coups du biparpisme qio a partagé les diffrentes vaches a lait institutionnelles entre « interets de gauche » et interets « de droite ».
Les marxistes avaient déjà fait main basse sur les actifs de la première CFTC en y devenant majoritaire puis en virant la notion de syndicalisme chretien de sa denomination.
La CFDT actuelle , on ne le revelera jamais assez EST le coucou qui a viré l’oiseau de son nid .... il faut dire que des decennies de patronage chretien avait doté la CFTC originelle d’un patrimoine immobilier qui attirait la convoitise de la racaille marxiste aux doigts crochus mais au discours genereux en apparence...
En se refondant la seconde CFTC avait meme du bataillé pour recuperer ce nom jeté aux oubliettes par les marxistes de la CFDT mais qui pretendait quand meme en garder la PROPRIETE , pour empecher la resurgence d’un syndicalisme chretien.
Aujourd’hui , le combat qui règne dans les toutes puissances federations du transport ferré est surtout un combat entre ceux qui ont la gouvernance effective des entreprises (SNCF, RATP) et de leurs richissimes CE et ceux qui postulent à les remplacer.
Le champs de bataille est imposé par le gouvrnement qui en accord avec les decisions de Bruxelles se doit de privatiser tout le secteur, pour que des Bouyghes,, des VIVENDI et consorts puisent faire des benefices avec les biens nationnaux que nous financons depuis des decennies.
Ceux qui ont le pouvoir de nuisance (CGT, Sud-Rail, CFDT) s’affrontent donc aux « petits syndicats » pour preserver leurs emplois fictifs, leurs privilèges contre la paix sociale.
La pauvre CTFC ne font donc pas le poids, une fois de plus , entre les mafias « de droite » et les mafias « de gauche ».